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Auvergne : Championnat d’Europe de Tir à l’Arc : La sélection française

4 août 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Voici la composition de l’équipe de France qui participera au Championnat d’Europe de tir en campagne à Saignes-Champagnac du 18 au 23 août prochain.

Arc classique
Hommes
Cédric Byrotheau (Coureilles), Nicolas Gaudron (Saint Avertin)

Femmes
Carole Ferriou (Boé)

Juniors
Joffrey Benedic (Est Tir à l’arc), Manon Silva (Archers Jarlandins)

Arc à poulies
Hommes
Jean-Paul Laury (Montlouis sur Loire), Bruno Brouille (Chauny)

Femmes
Chrystelle Garitat (Archers des 3 Lucs)

Arc nu
Hommes
Bernard Dumon (Sanary), Christophe Clément (Ludres)

Femmes
Christine Gauthe (Archers du Pays Beaunois), Véronique Grimault (Entente Sportive Gatinaise)

Juniors
Raphaël Petit-Minuesa (Archers Quevenois), Lucas Le Baut (Archers Logonnais)

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Conte traditionnel du Cantal…

4 août 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Un couple de paysans avait deux enfants, Antoine et Pipète. Au seuil de l’été, les parents dirent à leur fils aîné d’aller se louer jusqu’au printemps prochain chez un fermier, comme valet.
Antoine obéit et se présenta chez un méchant maître. Celui-ci l’engagea en le prévenant :
- Le premier de nous deux qui se plaindra de l’autre, eh bien, l’autre aura le droit de lui couper une bande de peau de son dos, large de trois doigts…
Antoine ne put qu’approuver. Le maître le traita mal, et, à la moindre plainte du garçon, il menaçait de lui couper la peau.
Au bout de quinze jours, Antoine n’en pouvait plus : le fermier l’obligeait à travailler pire qu’un mulet, presque sans le nourrir. Il finit par protester devant cette trop grande injustice. Comme promis, le maître lui écorcha la peau et le renvoya chez lui. Voyant cela, Pipète se révolta :
- Je vais prendre ta place, dit-il.
Le méchant fermier avait besoin d’un valet, il accepta Pipète, non sans l’avoir averti, comme auparavant son frère :
- Le premier qui se plaindra aura la peau coupée…
- Je suis d’accord, répondit tranquillement le garçon.
- Tope-là. Ton temps s’achèvera lorsque le coucou chantera.
- Très bien.
Le maître l’envoya aussitôt travailler aux champs. D’habitude, il donnait à son valet un oeuf dur, lui disant qu’il pouvait emporter autant de pain qu’il pourrait en frotter avec l’oeuf. L’oeuf, bien entendu, s’émiettait tout de suite, et le valet n’emportait donc qu’une mince tranche pour toute nourriture.
Cette fois, avant que le fermier ne lui donne l’oeuf dur, Pipète en saisit un autre, mais frais, celui-là. Ainsi, en s’aidant d’une plume, il put frotter la miche tout entière, qu’il mit dans son sac. Le fermier roulait des yeux furieux :
- Vous avez à vous plaindre de moi ? demanda Pipète.
En même temps, il sortait un couteau de sa poche.
- Non, non, répondit le fermier.
Mais il résolut d’avoir sa revanche tout de suite. C’est pourquoi il ajouta :
- Tu emmènes le chien, et tu ne cesseras ton travail que lorsqu’il voudra revenir à la ferme.
- D’accord, dit Pipète.
Le fermier savait que le chien ne revenait jamais des champs avant la nuit tombée. Pipète s’en doutait lui aussi. Voilà pourquoi, après avoir labouré jusqu’à onze heures du matin, lorsque le soleil se mit à chauffer trop fort, il attrapa la bête.
- Pardonne-moi, dit-il, je ne peux faire autrement.
Il pinça la queue du chien dans la charrue, juste assez pour que l’animal, après un hurlement, se sauve, reprenant le chemin de la ferme. Pipète le suivit.
Le voyant rentrer si tôt, le fermier s’exclama.
- Je n’ai fait que suivre vos instructions, dit Pipète. Vous avez à vous plaindre de quelque chose ?
- Non, non, répondit le fermier pour la deuxième fois.
Le soir, il réfléchit longtemps, comprenant qu’il avait affaire à forte partie.
« Il faut que je lui invente une tache impossible, se dit-il. Ainsi, je lui écorcherai le dos, cela le rendra plus docile. »
Le lendemain matin, il pensait avoir trouvé :
Garçon, commanda-t-il, va mener les boeufs au pré. Seulement, je te défends de les faire entrer par la porte, ni de traverser la haie.
- Pas de problème.
Pipète mena les boeufs jusqu’au pré. Pour obéir à son maître, il tua les bêtes, les coupa en morceaux, et jeta les morceaux dans le pré par-dessus la clôture. Ainsi n’avait-il touché ni à la porte, ni à la haie elle-même.
- Comment as-tu fait ? gronda le fermier lorsqu’il fut de retour.
- Allez voir.
Le fermier y courut, s’arracha les cheveux en voyant le spectacle, ses bêtes mortes…
- Vous n’êtes pas content ? Vous avez à vous plaindre de quelque chose ? demanda à nouveau Pipète, son couteau à la main.
- Non, non… s’étrangla le fermier.
Il reprit pourtant aussitôt ses esprits, et décida d’envoyer le valet faire paître son troupeau de cochons dans le bois où le diable en personne avait élu domicile.
« Ainsi, je suis sûr de ne jamais le revoir… »
Pipète s’en alla donc vers le bois, poussant le troupeau devant lui. En chemin, il croisa une bergère et lui acheta un fromage. Un braconnier lui donna une perdrix vivante, et une femme qui revenait du marché lui céda une grosse pelote de fil.
Après cela, il arriva au bois du diable, où il s’installa sans crainte, tandis que ses cochons se mettaient à manger des glands de chênes.
Seulement, après cinq minutes, le diable parut, monsieur Ropotou, agité par une violente colère :
- Que fais-tu chez moi, petit valet hurla-t-il ; on n’a pas le droit !
- J’obéis à mon maître.
- Va-t’en tout de suite, ou bien gare ! Regarde.
Le diable saisit une grosse pierre qu’il jeta au sol avec force. La pierre se brisa en morceaux. Sans se laisser impressionner, Pipète attrapa le fromage qu’il venait d’acheter. À son tour de jeter le fromage au sol, où il s’écrasa. Monsieur Ropotou ne put retenir un hoquet de surprise. Il ramassa pourtant un deuxième caillou, le lança dans les airs de toutes ses forces. Pipète vit le caillou retomber à un kilomètre de là !
- À mon tour, dit-il.
À la place du caillou, il jeta la perdrix du braconnier. L’oiseau fila comme une flèche et se perdit dans le ciel. Le diable se gratta la tête devant l’exploit, mais sans vouloir encore s’avouer vaincu.
- On va voir qui de nous deux peut ramasser le plus gros fagot.
Il se précipita, rassembla en un tour de main une immense brassée de bois, que dix tombereaux auraient eu du mal à contenir.
- Seulement ça, dit Pipète avec un air de moquerie. A moi.
Il prit sa pelote de fil, noua l’extrémité au bas d’un arbre, et fit mine d’en entourer un deuxième, puis un autre encore.
- Hééé ! s’exclama monsieur Ropotou, que fais-tu là ?
- Mon fagot, tiens donc.
Le diable eut soudain peur que le valet ne lui déracine son bois tout entier !
- Arrête ! cria-t-il, tu as gagné. Je te laisse tranquille, toi et tes porcins.
Et il s’en alla.
Le soir, Pipète rentra à la ferme en sifflotant, son travail accompli.
Le maître ne put fermer l’oeil de la nuit, cherchant un nouveau moyen pour se débarrasser de ce domestique trop malin pour lui. Sa femme proposa :
- Je sais comment faire : au matin, badigeonnée de miel et couverte de plumes, je monterai sur un arbre, et je chanterai comme chante le coucou. Le valet croira que le printemps est arrivé et que le temps est venu pour lui de s’en aller.
- On peut toujours essayer, dit le maître.
À l’aube, Pipète entendit le chant du coucou. Il descendit dans le jardin, son fusil à la main. Au premier coup tiré, la femme du fermier dégringola de l’arbre, raide morte.
Le mari accourut, leva les bras au ciel.
- Malheureux ! Qu’as-tu fait là ?
- Tiens donc, on dirait que vous n’êtes pas content !
- Ça non, je ne suis pas content !
Pipète ne se fit pas répéter deux fois la chose. Il sortit son couteau et découpa aussitôt une bande de peau large de trois doigts sur le dos de son mauvais maître.
Ainsi vengea-t-il son frère, avant de retourner à la maison.

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Tir à l’arc : Championnat d’Europe de tir en campagne en Auvergne

24 juillet 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Avis aux amateurs et aux professionnels : Les 18èmes championnats d’Europe de tir en campagne se dérouleront cette année en France et surtout en Auvergne.

Les épreuves se dérouleront du 18 au 23 août prochains à Saignes-Champagnac.

Reste à espérer que l’équipe de France de tir en campagne fera aussi bien voire mieux qu’en 2003 où les Bleus ont remportés 3 médailles (dont 2 titres par équipe).

Bonne chance à la sélection française…

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Les bovins meurent plus à la Réunion

21 juillet 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Une mortalité moyenne chez les adultes 2 à 4 fois supérieure à ce qui est observé en métropole, c’est ce qu’ont relevé les experts de l’agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA), du centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD) et de l’institut de l’élevage dans un rapport remis au ministre de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche concernant la filière bovine laitière à La Réunion.

Selon ce rapport, « il y a à La Réunion de fortes disparités selon les élevages ». Sans être en mesure de déterminer de façon précise la part respective des facteurs infectieux et des conditions d’élevage dans l’origine de ces mortalités, les experts recommandent la réalisation d’une enquête pour identifier les raisons pour lesquelles « la mortalité est plus élevée dans certains élevages que dans d’autres ». Ce sera la mission du groupement de défense sanitaire du bétail de La Réunion (GDSBR) qui devrait publier les résultats de l’enquête en septembre 2009.

Par ailleurs, le rapport renouvelle la recommandation de la mise en cohérence des conseils prodigués aux éleveurs par les différents intervenants techniques. Cela concerne notamment l’importance de l’attention qui doit être apportée à la composition de la ration et aux transitions alimentaires. En effet, depuis 10 ans, la productivité laitière a progressé en même temps que l’augmentation de la part de concentrés distribués aux animaux au détriment du fourrage, ce qui peut aboutir à une fragilisation zootechnique et sanitaire des animaux.

Les experts ont également émis des recommandations sur la gestion de la fièvre catarrhale ovine et sur la diffusion de la génétique au sein de la filière. Ces conseils devraient être mis en œuvre « dès que possible » par le comité stratégique de pilotage de la filière lait.

Source : Actualité - reunion.orange.fr
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Histoire de la vache “Salers”

29 juin 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

“la vache rouge de salers au poil frisé

et aux cornes en lyre

n’a acquis ses lettres de noblesse

que vers le milieu du XIXème siècle…

On vante sa rusticité, sa fécondité et son instinct maternel

sa longévité, son rendement en lait et en viande. Annette Pourrat

Histoire de la Salers (source : mémoire de Cécile

“la race de salers hier et aujourd’hui”) :

La “Salers” n’est pas apparue au XIXème siècle, elle était présente bien avant dans le département du Cantal essentiellement. Elle portait l’appellation de “race auvergnate”. On l’exploitait jusqu’à des temps très anciens. Ainsi, on retrouve sa trace au travers de peintures préhistoriques de la Caverne de Lascaux.

Jules Sérieys remarque que pour la salers on peut parler de “race”, parce qu’elle réside depuis longtemps sur les plateaux de Salers et que la nature de ce milieu a fortement conditionné ses caractéristiques.

La Salers n’a pas connu de multiples croisements avec d’autres espèces, car, elle a participé à un système de sélection. Ainsi, comme le dit Geoffroy Saint-Hilaire : “La race est une réunion d’individus issus les uns des autres et distingués par certains caractères que ces individus se transmettent constamment.”

L’évolution de la salers dans une longue période lui a permis d’acquérir une épine dorsale rectiligne et un rendement de viande plus élevé.

La sélection de sa race lui permet donc d’atteindre la perfection. Par le fait qu’au fil des générations un certain nombre de caractères se sont transmis par hérédité, on peut parler pour la salers de “race”.

Dès 1822, L.-F. Grognier a fait beaucoup pour l’élevage cantalien et en a défini les caractères. On lui doit la dénomination de “race de salers”. Mais, il faut attendre 1852 pour que celle-ci soit officialisée.

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De la musique dans les paturages ?!

27 mai 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

En Angleterre, un éleveur de vaches a confié à un tenor italien le soin de chanter pour son troupeau dans l’espoir que ses vaches produisent un meilleur lait.

Le chanteur Marcello Bedoni, a accepté l’invitation de cet éleveur souhaitant relancer une marque de crèmes glacées centenaire en ressortant les recettes originales.

Le créateur de la marque, son grand-père, était en effet convaincu que les vaches adorent la musique et que leur en faire écouter influençait la qualité de leur lait. La musique serait d’ailleurs un ingrédient indispensable à la recette des glaces. cet éleveur anglais assure que son grand-père chantait toujours des chansons à ses vaches.

Il a donc organisé une série de récitals d’opéra spécialement pour ses animaux dont la première a déjà eu lieu.

La musique adoucit les moeurs…pourquoi pas le lait…

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19 mai 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Le vieil homme et l’autruche

L’importance des mots… Surtout lorsque l’on s’adresse à un génie…

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Comment faire pour qu’une vache donne plus de lait ?

28 avril 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

C’est toujours le même fermier qui rapporte le plus de lait à la fromagerie.
Pourtant tout le monde sait dans le village que ce fermier ne possède que quelques vaches.
Alors comment fait-il ?
Intrigués, les autres fermiers décident d’aller lui poser la question :
- Mais non de Dieu, comment fais-tu pour obtenir tant de lait, avec si peu de vaches ? C’est quoi le truc ?
- Oh c’est tout simple !
- Je le savais ! Tu utilises des produits spéciaux !?!
- Meuh non. Mais où vas-tu chercher ces idées. Des produits spéciaux ? Pour les vaches ? Meuh… non !?!
- Alors ? Comment ?
- Ben c’est simple. Le matin quand je vais traire mes vaches, je leur pose toujours la même question : « Alors mes p’tites ! Ce matin qu’est-ce que vous me donnez ? Du lait ou du STEAK ?»

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Dieu créa d’abord la vache….. puis l’Homme…

27 avril 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Le premier jour Dieu a créé la vache. Dieu dit, “Tu dois aller au champ avec le fermier toute la journée et souffrir sous le soleil, avoir des veaux et donner du lait pour soutenir le fermier. je te donne une durée de vie de 60 ans.”
La vache répondit, “c’est une sacrée vie dure que tu veux pour moi pendant 60 ans. C’est ok pour 20 ans et je te rends les 40 autres.”

Et Dieu a été d’accord.

Le deuxième jour, Dieu a créé le chien. Dieu a dit, “Reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de 20 ans.”
Le chien a dit, “c’est trop long pour aboyer. Donne-moi 10 ans et je te rends les 10 autres.”

Alors Dieu a été à nouveau d’accord (soupirs).

Le troisième jour Dieu a créé le singe. Dieu a dit, “Amuse les gens, fait des tours savants, fait les rire. Je te donne une durée de vie de 20 ans.”
Le singe a dit, “Faire des singeries pendant 20 ans ? C’est trop chiant ! Le chien t’a rendu 10 ans, non ? Ben je fais pareil, ok ?”

Encore une fois Dieu a été d’accord.

Le quatrième jour Dieu a créé l’homme. Dieu a dit, “Mange, dors, joue, amuse toi. Glande un rien, (tranquille, quoi !) Je te donne 20 ans.”
L’homme répondit, “Quoi ? Seulement 20 ans ? Que dalle. Écoute, je prends mes 20, les 40 que la vache a rendus, les 10 du chien et les 10 du singe. Ça fait 80, ok ?”

“Ok!” répondit Dieu. “Marché conclu”.

C’est ainsi que pendant les 20 premières années de notre vie nous mangeons, dormons, jouons, nous amusons et ne faisons rien ;
pendant les 40 années suivantes nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille ;
pendant les 10 années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits-enfants ;
et pendant les 10 dernières années nous sommes assis devant la maison à aboyer sur tout le monde!

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Comment faire la différence entre une mouche mâle et une mouche femelle?

27 avril 2009 classé dans Non classé par unpeudhumour

Une femme arrive dans la cuisine et voit son mari avec une tapette à mouche…
- Que fais-tu ?
Il répond :
- Je chasse les mouches…
- En as-tu tué ?
- Oui, 3 mâles, 2 femelles
Intriguée, elle lui demande :
- Comment fais-tu la différence entre les femelles et les mâles ?
Il répond :
- 3 étaient sur la cannette de bière, 2 sur le téléphone.

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